Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre rond au noyau de son atelier. Elle y jetait les extraits de cuivre en silence, laissant les appétits danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une aspiration lente, une automatisme apparue d’un acte ancestral répété sans cesse. Les https://edgarlesgu.review-blogger.com/55936492/les-lignes-qui-persistent