1

Les lignes effacés

News Discuss 
Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre rond au noyau de son atelier. Elle y jetait les extraits de cuivre en silence, laissant les appétits danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un rite. C’était une aspiration lente, une automatisme apparue d’un acte ancestral répété sans cesse. Les https://edgarlesgu.review-blogger.com/55936492/les-lignes-qui-persistent

Comments

    No HTML

    HTML is disabled


Who Upvoted this Story