Les jours passaient dans un cycle pérenne, harmonisés avec la lumière pâle du nord et les transpositions ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient doucement, en spirale, comme si le ciel lui-même les aspirait à cocher des messages immatériels. L’enfant, désormais adolescente, se tenait tout matin au centre du cercle https://eduardoiboco.blogoxo.com/34372182/le-cœur-inversé-du-vol