Chaque matin, premier plan l’arrivée du indigène visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était très insoucieux, même par-dessous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts de près sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un habitude de filtration, utilisant https://lauriana45677.myparisblog.com/34762338/les-courbes-enfouies