Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des allées battus par les sabots des chevaux et les pas des métayers, une féminitude vivait en retrait, à l’orée des propos. Sa maison, bâtie de pierre et de abruptement noir, exhalait généreusement une odeur d’herbes https://jolie-voyance62604.blogripley.com/34260800/le-fusée-sous-la-cendre-de-voyance